PDG PFISER MONSIEUR ALBERT BOURLA, Alvértos
rêve la réduction de 50% population mondiale vaccinée.
DÉCLARATION DU PDG DE PFISER MONSIEUR ALBERT BOURLA, Alvértos Bourlá SELON LUI, IL S’AGIT D’UN BUT PRÉCIS DE L’ENTREPRISE PFISER PAR SA DÉCLARATION SUIVANTE :
Je pense que c’est vraiment la réalité d’un rêve que l’on a fait ensemble avec mon équipe de direction de l’entreprise lorsque l’on a commencé ce projet en 2019. La première semaine ou nous nous sommes rencontrés en janvier 2019 en Californie, nous avons mis les objectifs pour les cinq prochaines années et l’un d’entre eux était d’ici 2023 que nous réduisons de 50% le nombre de personnes dans le monde. Je pense qu’aujourd’hui ce rêve est en train de devenir réalité.
L’histoire ne dit pas si les injections qu’il s’est inoculées n’étaient pas un placébo
Alvértos
Bourlá (en grec moderne : Αλβέρτος
Μπουρλά), connu
à l’étranger sous le nom d’Albert Bourla, né le 21 octobre
1961 à Thessalonique, en Grèce,
est un docteur vétérinaire et chef d'entreprise grec. Il est le directeur
général de Pfizer depuis
le 1er janvier 2019.
Biographie[modifier | modifier
le code]
Alvértos
Bourlá naît à Thessalonique, en Grèce, de parents juifs ayant survécu à
la Shoah1.
Il
obtient un diplôme de vétérinaire puis
valide un doctorat en biotechnologie de la reproduction à l'université Aristote de Thessalonique.
Il rejoint le groupe Pfizer en 1993 en tant que docteur vétérinaire et
directeur technique de la division santé animale en Grèce. Son rôle s'étend à
l'Europe, l'Afrique puis à l'Asie et l'Océanie à partir de 2005.
Dans les
années 2010, Albert Bourla occupe plusieurs rôles exécutifs au sein
d'entreprises appartenant à Pfizer2.
Le 1er janvier
2019, il devient le directeur général de Pfizer en replacement de Ian Read,
nommé président exécutif du comité de direction du groupe3,4.
En 2020,
Albert Bourla décide de diriger tous les efforts de l'entreprise pour tenter de
trouver un vaccin contre un nouveau
virus qui vient d'apparaître en Chine et va frapper le monde5. Un an
plus tard, son travail paye, les autorisations de produire et vendre le vaccin
Pfizer sont accordées.
En janvier
2021, son nom apparaît dans la presse mondiale après qu'une polémique le
concerne au sujet du vaccin contre le Covid-19 développé par
Pfizer. En effet, il est accusé d'avoir refusé d'essayer le vaccin sur
lui-même, intox qu'il dément6 :
« Dès
que je pourrai, je le ferai. Le seul problème c’est que je ne veux pas donner
l’exemple de quelqu'un qui veut passer avant les autres. J’ai 59 ans, je suis en bonne santé, je ne travaille pas en première ligne, donc
mon profil n’est pas recommandé pour la vaccination7. »
En mars
2021, la presse israélienne rapporte qu'il n'avait reçu qu'une injection unique8. Il
recevra toutefois la seconde le même mois9,10.
En
janvier 2022, Albert Bourla reçoit le prix
Genesis de l'année (équivalent à un montant d’un million de
dollars) pour avoir réussi avec ses équipes de Pfizer à développer un vaccin
contre le Covid-1911.
Polémique
En novembre 2020, Albert Bourla fait l'objet de critiques pour
avoir revendu pour 5,6 millions de dollars d'actions qu'il détenait au
sein du capital de Pfizer, le jour de l'annonce de la fiabilité à
94 % du vaccin contre le Covid-1912. L'opération d'Albert Bourla (imité par sa vice-présidente, Sally
Susman, qui a vendu pour 1,8 million de dollars d'actions et par d'autres
dirigeants d'autres laboratoires) est jugée peu morale mais est tout à fait
légale1
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